• 30 10 2015 film 7 ans au tibet (avec brad pitt mmmm! lol!)

     

    bien! encore un film les gens et après c'est tout pour aujourd 'hui. c'est un film qui m'a fait réfléchir sur le tibet. on voit le tibet comme un peuple doux et pacifique que la chine martyrise sans fin. moi je suis pas très d'accord d'après ce que j'en apprends par ailleurs les gens. je peux me tromper bien sur. je suis d'accord. je me fie à ce que j'apprends de mon coté. c'est tout. alors bon déjà dans le film on voit que la chine elle a été vaincue par le tibet à un certain moment. c'est donc pas que de doux moines boudhistes on dirait. non? si. mais bon c'était il y a longtemps sans doute et je veux bien vous dire que c'est plus pareil maintenant c'est très possible les gens; mais quand même, on peut comprendre que l'humiliation puisse motiver les chinois. même s'ils ont perdu, c'est pas une raison pour être durs avec eux. moi je pense ça parce que dans le film un jour voilà des chinois. ils viennent voir les tibétains gentiment. enfin ils sont pas agressifs ni rien . mais bon ils sont reçus comme des chiens dans un jeu de quilles si je me souviens bien et ma foi si le tibet a gagné je comprends rien. mais bon les rapports de force ont du changé et c'est le tibet qui fait le fier à bras je pense. mais c'est sur que c'est un échange de bons procédés si j'ai tout compris bien bien de ce film. et de ce que j'ai lu sur wiki de l'histoire de la chine et du tibet. vous me connaissez les gens, je me pose toujours trop de questions moi. il me semble me souvenir que la chine a eu maille à partir avec le tibet et qu'ils étaient leurs vassaux il y a longtemps. un peuple de guerriers les tibétains? allons donc me dirait un homme qui est prêt à les défendre bec et ongles contre mes assauts sauvages de vilaine françoise moche qui ferait mieux de réfléchir elle au lieu de idre des conneries plus grosses qu'elle si c'est possible (si, c'est possible les gens, on dirait pas mais c'est possible, la preuve, les baleines! siiii! ah! non mais! je vous avais bien dit. non mais. lol!) mais bon moi je lis wiki et je vois le film et j'ai vu sur une vieille revue de 1900 et des brouettes des tibétains en tenue de guerriers et c'était marqué dessous "tibétains guerriers". alors donc pourquoi pas? moi je prends pas parti ni rien et à la limite je m'en fous bien moi de la vie des tibétains et des chinois. mais bon ça me plait pas si c'est ça qu'on dise que c'est les vilains chinois et les gentils tibétains si les torts sont partagés. non? si. et puis quand on réfléchit encore (oui, bon, pas moi hein? je réfléchissais avant d'être malade à fond et encore je peux pas m'empêcher de vérifier autant que je peux ce que j'apprends pour essayer de vraiment comprendre et des fois ça me joue des tours de con. je pense à contre courant de tout le monde alors bon je voudrais bien (j'ai le "e" qui veut plus bien marcher sur mon portable du coup. j'ai que des merdes en ce moment avec mes ordis, que des merdes. y en a un qui est vérolé comme c'est pas permis avec des tas de programmes que j'ai pas demandé et que je peux même pas désinstaller, et l'autre qui fait la gueule des "e" et qui traine sa grolle pour avancer. misère! ce serait que de moi j'y foutrai tout par la fenêtre comme il dit le michou mais je peux pas, j'en ai besoin pour vous joindre et mon coeur aussi. si. c'est pour ça. donc les tibétains. pardon. donc un peuple de guerriers on dirait et les moines shaloin ils enseignent quoi? hum? dites un peu pour voir si vous êtes pas de mauvaises foi? les arts martiaux. hum? avec des sabres? hum? c'est pas un peu guerrier tout ça? mais bon c'est pour se défendre je pense. je pense. mais bon ils les ont bien appris quelque part les arts martiaux non? enfin bon c'est ma pensée de saucisse. c'est pas dire qu'ils sont vilains ou quoi. je dis juste que les chinois ont peut-être leurs raisons de pas adorer les tibétains et que peut-être ils essaient de se protèger de nouvelles invasions je sais pas je fais des suppositions à partir de ce que je comprends de ce que je vois, lis et entend. voilà les gens. place au film, enfin , mais vous pouvez toujours sauter mes bla bla bla vous savez. je vous dis un peu ce que je pense du film comme ça. si ça vous intéresse pas je serai pas fachée sur que non! bisous les gens et maxime mon cour tu l'as vu non? non? alors bon fallait bien que tu lises ici jusqu'au bout pour ta gouverne et je dis pas que les tibétains sont pas bien coeur hein? je dis pas ça. mais je dis juste qu'il faut faire attention aux légendes parfois si c'est ça. bisou coeur. mon coeur. je t'adore fort tu sais bien. et les tibétains il sont loin non? ils vont pas nous séparer quand même? si? non! je les respecte et leur philosophie et très belle et je l'apprécie. c'est juste la vindicte qui me défrise, boudhiste ou pas. enfin bon je suis pas de là-bas, je sais pas tout. et c'est juste des impressions coeur, m'en veux pas... bisou coeur. bisous aussi à vous les gens. (j'ai repris un texte sur wiki je crois c'est pour ça le bleu, faites pas attention hein? j'ai mis des trucs à moi et j'ai simplifié un peu. pardon wiki. c'est pour les gens. c'est pour ça. m'en veux pas toi non plus hein? je t'aime bien tu sais bien. la preuve, je viens te voir souvent non? si!)

    7 ANS AU TIBET

     Fim de Jean Jacques Annaud avec Brad Pitt

     Heinrich Harrer, Le vainqueur de l'Eiger fera partie de l'expédition au Nanga Parbat de la Fondation himalayenne allemande, expédition conduite par l'autrichien Peter Aufschnaiter,

    L'expédition était chargée par Himmler de faire du repérage en vue de l'ascension de la face nord-ouest , le 9e plus haut sommet du monde (8 114 m), aujourd'hui au Pakistan et à l'époque aux Indes britanniques.

    En mai, Harrer prend congé de sa femme, sans aucun regret apparent et avec une grande froideur, alors enceinte d'un fils qu'il ne verra qu'une douzaine d'années plus tard. Les reconnaissances se terminent au mois d'août 1939 après qu'une nouvelle voie d'escalade est découverte.

    Après plusieurs mois de reconnaissance du Nanga Parbat et de ses environs, l'expédition arrive à Karachi le 8 août 1939. Trois jours avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, les membres de l'expédition sont arrêtés par les autorités coloniales au moment où ils s'apprêtent à gagner l'Iran faute d'avoir trouvé à Karachi le cargo censé les ramener au pays.

    Après plusieurs tentatives, il réussit à s'évader

    Heinrich Harrer entre dans Lhassa en 1946 par le Chorten de la porte ouest .

    Alors que leurs trois compagnons sont repris et renvoyés derrière les barbelés, Aufschnaiter et Harrer franchissent quelque 65 cols de plus de 5 000 mètres d'altitude, gagnant le Tibet puis Lhassa, le 15 janvier 1946, au bout de deux ans de voyage. Dépourvus de papiers et d'autorisations de séjour, ils se postent devant la maison de Thangme, le « Maître de l'électricité », un haut responsable anglophone du gouvernement tibétain, qui accepte de les accueillir et les héberge pendant un mois.

    Puis le fils d'un ancien ministre du gouvernement tibétain les invite à résider dans une des villas de son domaine. Ils réussissent à échapper à l'expulsion en se rendant l'un et l'autre indispensables grâce à leurs savoir-faire

    Ils séjournèrent à Lhassa pendant cinq ans. Sur place, la situation administrative des deux Européens évolua. Après avoir obtenu le statut de résident permanent, ils furent nommés fonctionnaires du gouvernement et nobles de 5e rang.

    Peter Aufschnaiter, qui était ingénieur agronome de formation, réalisa à la demande des autorités un canal d'irrigation des champs autour de Lhassa, puis il conçut un barrage sur la rivière Kyi chu pour protéger le palais de Norbulingka des inondations. En 1948, il fut chargé de réaliser une centrale électrique ainsi qu'un canal d'amenée d'eau à Lhassa. Harrer surveillait la réalisation des travaux. Par la suite les deux Autrichiens établirent une carte de Lhassa et des environs en vue de concevoir un réseau d'égouts. Harrer fit le relevé de toutes les maisons et jardins de Lhassa, qui comptait à l'époque environ 30 000 habitants. Il décrit l'obélisque de pierre élevé en l'an 763 sous le règne du roi du Tibet Trisong Detsen pour commémorer les victoires des Tibétains sur les Chinois, ces derniers devant fournir aux Tibétains cinquante milles rouleaux de soie en signe d'allégeance[36].

     

    En dehors de la charge qui lui avait été confiée d'écouter les radios étrangères de langue anglaise et de traduire en tibétain les nouvelles politiques de l'étranger pour le compte du gouvernement] et de faire office de photographe de la Cour[, Heinrich Harrer pratiqua de nombreux sports pendant son séjour à Lhassa. Il initia de nombreux membres de la bonne société de Lhassa à la natation, au patin à glace (que les Tibétains appelaient « marcher sur des couteaux ») et au tennis.

     

    En 1949 le 14e dalaï-lama fit savoir à Harrer, par l'intermédiaire de son frère Lobsang Samten, qu'il souhaitait une salle de projection pour projeter des films]. Et ce n'est qu'en 1949, après la construction de cette salle au Norbulingka, le palais d'été, qu'eut lieu la première entrevue entre Harrer et le 14e dalaï-lama, alors âgé de 14 ans et reconnu comme étant la réincarnation du 13e dalaï-lama, décédé en 1933. Ils se rencontrèrent ensuite régulièrement pendant un an, avec l'autorisation du gouvernement tibétain, le jeune dalaï-lama souhaitant s'ouvrir sur le monde extérieur et les techniques occidentales. Le jeune homme recevait alors son enseignement des moines qui n'avaient jamais voyagé. Ils lui enseignaient la méditation, la religion et l'art de gouverner. Harrer devint l'ami du jeune Tenzin, lequel lui donnait le surnom affectueux de gopse (« tête jaune ») à cause de la blondeur de ses cheveux. Il l'initia au maniement d'une caméra et d'un projecteur de cinéma et lui donna des cours d'anglais et de géographie. Il lui apprit aussi à serrer la main, à la mode occidentale.

    Dans Lhassa : le Tibet disparu (1997), Heinrich Harrer qualifie ainsi sa relation avec le jeune homme :

    « [...] En vérité, j'étais un trait d'union entre son monde médiéval et la vie qu'il aurait plus tard en Occident »

    Dans son autobiographie, Au loin la liberté (1993), le dalaï-lama évoque son ami en ces termes :

    « Il parlait couramment le tibétain et possèdait un sens de l'humour remarquable, tout en se montrant plein de courtoisie et de respect. A mesure que nous apprenions à nous connaître, il était plus libre et direct avec moi - en particulier quand nous étions seul -, qualité que j'appréciais fort »

     

    Puis Harrer décida de quitter le Tibet et de rentrer en Autriche en 1951. Il retrouve sa femme, qui a divorcé et s'est remariée entre-temps et surtout son fils, qui lui a manqué terriblement.Celui-ci lui a écrit une lettre au Tibet où il dit à son père qu'il ne veut rien savoir de lui. Harrer lui offre la boîte à musique du dalaï-Lama qu'il dépose dans la chambre de son fils et s'éclipse discrètement. Il constate à travers la porte entrouverte que son fils s'approche de la boîte à musique et semble apprécier le cadeau.


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